Patrimoine Local
Fiers de nos labels
Forts de ses labels Village de Charme et Petite Cité de Caractère, le village du Puy Notre Dame peut s’enorgueillir d’un patrimoine aussi riche que varié qu’elle contribue à défendre, mettre en valeur et faire vivre, par l’intermédiaire de ses habitants, bénévoles et passionnés, pour le bonheur de tous.
Patrimoine historique et architectural
Un peu d'histoire
À l’origine du nom de notre village, existait sur la colline du Puy-Notre-Dame en 1123, une église romane dédiée à Marie, ecclesia beatae Mariae de Podio (celte peuch, latin podium, français puy), à laquelle était adjoint un prieuré.
À cette même époque, une relique de la ceinture de la Vierge Marie, apportée de Palestine, dit-on, par Guillaume IX, duc d’Aquitaine, fut déposée dans l’église par ce dernier, au retour de croisade. À la fin du XIIème, sa petite-fille Aliénor, en hommage à la Sainte Vierge, fit commencer la construction de l’église Notre-Dame sur l’emplacement de la précédente. La Sainte Ceinture de la Vierge, conservée en la Collégiale depuis cette époque, a acquis la réputation de favoriser la grossesse et la naissance d’enfants mâles. Anne de Bretagne pour le dauphin Charles, Anne d’Autriche pour Louis XIV et l’impératrice Eugénie (Napoléon III), entre autres, ont eu recours à ses bienfaits.
La belle Collégiale qui domine le paysage alentour, commencée donc vers 1154 et achevée vers 1250, s’inspire du plan de la cathédrale de Poitiers, elle offre un mélange de style gothique poitevin et angevin Plantagenêt : trois nefs à six travées, transept et abside à chevet rectangulaire, grand clocher avec flèche de pierre et clochetons du XVème, tympan plat orné de la Vierge et de deux anges.
À l’intérieur, on peut y admirer des stalles sculptées du XVIème et l’Assomption peinte par Jean Boucher en 1621. L’escalier du clocher permet de découvrir au premier niveau la salle du Trésor, réservée au Roi pendant les offices, puis la charpente et le panorama environnant.
Louis XI, qui aimait séjourner au Puy-Notre-Dame, y créa, en 1478, un chapitre (ou collège, d’où le nom de collégiale donné à l’église) composé de chanoines, de vicaires, ainsi qu’une salette (ou maîtrise), avec un maître et six enfants de chœur, qui servit aussi d’école. Aussi, les voûtes de l’église résonnent-elles encore des innombrables offices religieux auxquels se joignaient en masse les pèlerins (ceinture de la Vierge et chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle).
Se découvrent aussi les maisons typiques de vignerons, entièrement bâties en pierre de taille aux XVIIIème et XIXème siècles et se composant d’un grand corps de logis sur cour avec puits, écuries, dépendances utiles souvent troglodytiques (cellier, pressoir…), hauts murs de clôture et porches monumentaux.
Les hameaux qui composent le village autour du bourg, Cix, Sanziers, Chavannes, La Raye ou Les Caves, sont riches de manoirs, anciennes seigneuries et châteaux, à l’image du Château du Lys, ancienne propriété de Charles Louvet, député de Maine-et-Loire, maire de Saumur et ministre de l’agriculture sous le Second Empire.
Le Patrimoine bâti
Protégée par des remparts percés de 6 portes et de 10 guichets dont on peut encore admirer quelques vestiges, la petite ville fut cependant occupée au XIVème par les Anglais (Guerre de Cent Ans) et saccagée au XVIème pendant les Guerres de Religion où fut détruite une grande partie de l’enceinte fortifiée.
Outre la Collégiale du XIIème siècle, ses stalles, sa salle du trésor et son imposant clocher, le visiteur peut contempler au détour des ruelles du vieux Puy, des maisons du XVème et
XVIème siècles et d’autres richesses architecturales dont voici un aperçu ci-contre.
Légende: A Coquille Saint-Jacques sur maison B Porche XVIIème C Maison XVIIIème D Porche XVème, rue Sainte E Maison XIVème F Porche XVème et remparts G Manoir, ancien Couvent des Cordeliers XVIème H Porte « Guichet » des remparts I Coquille Saint-Jacques sur Manoir XVIIème J Chapelle funéraire Saint-Sauveur XVème
Le Parcours de Découverte du Patrimoine
Un parcours de découverte du patrimoine architectural du village a été mis en place avec le concours de l’Association des Petites Cités de Caractères.
Il sera disponible prochainement.
Un second parcours enrichi d’autres découvertes, élaboré par l’Association du Patrimoine du Puy Notre Dame, sera bientôt publié.
Vous pouvez d’ores et déjà vous reporter au blog de Dominique Monnier, riche de détails et d’anecdotes sur notre patrimoine ponot.
Patrimoine gastronomique
Le Champignon et sa Cave Vivante
Le champignon de Paris est aujourd’hui cultivé à Saumur et ses environs dans des galeries de pierre blanche, appelée tuffeau. C’est un lieu idéal pour le développement des champignons car il est très humide et la température ne dépasse pas les 15°C. Dans ces galeries en Anjou, c’est 70% de la production française qui s’y trouve. Le village du Puy Notre a accueilli pendant de nombreuses années plusieurs entreprises familiales de culture de champignon, faisant de ce secteur le premier employeur de la région, avant la vigne, jusque dans les années 1980.
Si vous voulez en savoir plus sur le champignon, les caves et l’histoire qui y est associée, il faut absolument aller visiter la Cave Vivante du Champignon, située à Sanziers sur le village du Puy Notre Dame. Ce musée est entièrement consacré à la culture du champignon et à son histoire.
Dans ces caves de plus d’un hectare, à l’abri du temps qui passe, venez découvrir la culture authentique des champignons en troglodyte. Jacky Roulleau, champignonniste, vous accueille dans ses habitations troglodytiques du 16ème siècle où sont cultivés les champignons de Paris et Sylvestres. Un diaporama et plusieurs mises en scène racontent l’histoire de la cave, la géologie du tuffeau, les fossiles marins, l’habitat troglodyte et l’histoire locale. A l’issue de la visite de la champignonnière, une dégustation des vins du domaine familial du Clos Saint-Maur. Le vin et le champignon, une tradition, un grand moment de culture symboles du patrimoine ponot.
Pour plus d’information : https://www.lechampignon.com/LE-PUY-NOTRE-DAME-ET-LA-CAVE-VIVANTE-DU-CHAMPIGNON_a27.html
Le Crêmet d'Anjou et ses moules
Le Crêmet d’Anjou est une spécialité régionale de dessert remis à la mode vers 1900 par Marie Renéaume talentueuse jeune cuisinière. Son succès a fait circuler la recette dans les campagnes angevines. Sa texture mousseuse et aérienne est incroyable. En 1921, Curnonsky, célèbre Prince des Gastronomes, écrivait dans le guide des merveilles culinaires de l’Anjou : « Le Crêmet est le régal des Dieux ».
Dessert aristocratique pourtant servi dès 1702 sur les banquets institutionnels de l’Hôtel de Ville d’Angers, le Crêmet d’Anjou a failli disparaître faute de moules qui servent à son égouttage. Cordiformes, par tradition, ces moules sont désormais faits de façon artisanale en Anjou, à la main, grâce à l’Association du Crêmet d’Anjou et son emblématique ambassadrice, Sophie REYNOUARD DAVID-AUVRAY qui en a déposé la marque. L’Association du Crêmet d’Anjou a également pour objectif de promouvoir le Crêmet d’Anjou sur son territoire et ailleurs, perpétuer les recherches historiques et recueillir les témoignages des passionnés.
Pour plus d’informations: https://www.cremetdanjou.net/association-du-cremet-d-anjou
La Fouée et son four
La fouée est un petit pain fait de farine de blé, d’eau, de sel et de levain qui est cuit au feu de bois. Dès sa sortie du four, la fouée est ouverte pour être fourrée de garnitures salées ou sucrées. Son origine est très locale et très rurale. Elle représente le plaisir simple de se retrouver autour d’un repas.
Autrefois, en Anjou et en Touraine lorsque les villageois se réunissaient autour du four à bois du village pour cuire les fournées de pain, les boulangers jetaient dans celui-ci de petites galettes de pâtes pour évaluer la température du four avant d’enfourner le pain. Très réactive à une forte chaleur, cette petite galette gonfle en une minute. Traditionnellement, la fouée était fourrée de rillettes, de mogettes ou de compote de pommes
Au fil du temps, cette tradition s’est enracinée et les villageois ont instauré, grâce à ce petit pain, un vrai moment de convivialité et de partage entre amis et voisins autour du four à bois. Aujourd’hui, convivialité et partage restent les maitres mots pour illustrer ce que peut vous procurer un repas autour de la fouée et du four : une façon de rassembler dans la bonne humeur, en toutes saisons, toutes les générations.
Au Puy Notre Dame, le prestataire Il était une fouée vous propose l’organisation de repas avec son four ambulant.
A Doué La Fontaine, Montreuil-Bellay, Rochemenier, ou Rou-Marson, capitale de la fouée, de nombreux restaurants perpétuent cette tradition dans de spectaculaires caves troglodytes, mêlant le plaisir du palais à celui des yeux: https://www.anjou-tourisme.com/fr/preparer-son-sejour/manger-deguster/restaurants-gastronomiques/restaurants-troglodytiques
Patrimoine Viticole
L'Appellation Puy Notre Dame
Les 1500 hectares de vignes qui entourent la commune ainsi que la toute nouvelle A.O.C. « Saumur Puy-Notre-Dame » font du vignoble le principal vecteur d’économie du Puy Notre Dame.
L’obtention de l’appellation Saumur-Puy-Notre-Dame procède d’une véritable reconquête du terroir. Jusqu’au XIXe siècle, et longtemps encore après la crise phylloxérique, les vins produits sont majoritairement des blancs issus du chenin. Dans les années 50, la forte demande en Rosé de Cabernet fera replanter un tiers du vignoble en cabernet franc. C’est alors qu’un pionnier obtient d’excellents résultats dans la vinification de ce cépage en rouge (démarche initiée en 1975 par ce viticulteur aujourd’hui décédé, Henri Aupy). Une nouvelle dynamique étaient enclenchée et l’on a assisté à une réelle reconquête du terroir par des vignerons soucieux de grande qualité dont la démarche fut couronnée par cette AOC obtenue en 2009.
AOC exclusivement rouge, majoritairement issue du cabernet franc (85% minimum) le Saumur Puy Notre Dame est charpenté, structuré, puissant, revigorant, à la robe soutenue et aux arômes intenses qui font dit-on des miracles.
Forte de ses 27 vignerons indépendants, la commune du Puy Notre Dame est la plus grande commune viticole du Saumurois. Avec les villages voisins du Vaudelnay, Brossay et Saint-Macaire-du-Bois, c’est plus de 70 exploitants et près de la moitié de la production des appellations Saumur qui émanent du vignoble du Puy-Notre-Dame.
Les autres appellations du Saumurois
Saumur et alentours, ce sont 7 appellations qui offrent des vins rouge, blanc, moelleux ou liquoreux, rosé et brut. La viticulture s’est surtout développée au cours du XVIe siècle avec l’arrivée des courtiers hollandais. Au début du XXe siècle, vont se créer les premiers syndicats de producteurs. En 1910 naît l’Union syndicale de viticulteurs Saumurois, puis en 1911, le Syndicat des Vignerons des Coteaux de Saumur. C’est eux qui seront à l’origine dès 1936 de la reconnaissance des vins de Saumur en appellation d’origine contrôlée.
Le Saumur Brut qui marque la production de vins à Saumur est né d’une constatation. Elle se fit dès le XVe siècle : le vin blanc tranquille mis en bouteille au cours de l’hiver, et après une seconde fermentation liée aux premières chaleurs, pétille tout en conservant sa finesse aromatique. D’abord pétillants, la maîtrise de la seconde fermentation en bouteille, allait favoriser, au XIXe siècle, grâce à des pionniers comme Jean Ackerman, le développement de la production de vins mousseux. A l’instar de la Champagne, Saumur bénéficie de nombreuses caves creusées dans le tuffeau permettant une excellente conservation des vins (température basse et constante et conditions d’hygrométrie idéales).
Les 7 appellations du Saumurois
Saumur se décline aujourd’hui en 7 appellations AOC/AOP :
- Saumur Rouge : 950 ha pour une production de 7,5 millions de bouteilles ;
- Saumur Blanc : 370 ha pour 2,8 millions de bouteilles ;
- Saumur Brut*: 1300 ha (75 communes) pour 11,5 millions de bouteilles ;
- Coteaux de Saumur. Cette appellation concerne les vins moelleux et liquoreux issus de vendanges manuelles par tris successifs de raisins arrivés à surmaturité et présentant une concentration par l’action ou non de la pourriture noble. Aujourd’hui, une estimation évalue son vignoble entre 50 et 100 ha sur 13 communes* pour une production entre 25 000 et 150 000 bouteilles.
*La délimitation a reconnu une vaste zone bien exposée, mais généralement seuls 20 ha sont déclarés dans cette AOC.
- Cabernet de Saumur. L’aire du Cabernet de Saumur est identique à celle de l’AOC Saumur Rouge. Ce Rosé à base exclusive de cabernet franc se cultive entre 80 et 110 ha pour une production entre 80 000 et 800 000 bouteilles.
- Saumur Champigny. Les 1550 ha se retrouvent sur les sous-sols de tuffeau des communes de Saumur, Dampierre, Souzay-Champigny, Parnay, Turquant, Montsoreau, Varrains, Chacé, Saint-Cyr-en-Bourg pour une production de 11,5 millions de bouteilles.
- Saumur Puy-Notre–Dame, plus jeune appellation qui a décroché son AOC en 2009. Elle produit un vin rouge issu du cabernet franc et cabernet sauvignon (15 % maxi à la cuvée). L’appellation a cette particularité de posséder autour du Puy-Notre-Dame, sur 17 communes, des sols majoritairement calcaires ce qui donnent des vins différents.
Les différentes cultures
A l’instar de beaucoup d’autres régions, le Saumurois et plus particulièrement le vignoble du Puy Notre Dame a connu une forte mutation avec environ un quart des vignerons en culture bio à ce jour. La préservation et le respect des sols et du vignoble conjugués à une demande en constante évolution du consommateur sont en effet deux facteurs qui orientent naturellement de plus en plus de vignerons vers une viticulture raisonnée, biologique voire biodynamique.
La Lutte raisonnée en viticulture peut se résumer ainsi : le bon produit, la bonne dose avec le bon appareil, au bon moment. Si les moyens utilisés sont les mêmes que pour la lutte chimique d’assurance, ils sont utilisés de manière plus raisonnable. Cette méthode de lutte oblige le vigneron à une observation précise et permanente de son vignoble. Il doit être capable de reconnaître les différents ennemis de la vigne. Cette démarche peut être considérée comme transitoire, un premier pas pourrait-on dire vers la lutte intégrée ou biologique. Elle a pour effet de diminuer d’une manière significative l’utilisation des produits phytosanitaires.
La Lutte intégrée (viticulture) : si la lutte biologique se révèle insuffisante pour obtenir une bonne protection de la vigne, il est alors possible de compléter son efficacité par l’utilisation de traitements chimiques. La lutte intégrée consiste donc à mettre en oeuvre différents moyens et produits pour obtenir une protection satisfaisante. L’emploi de produits phytopharmaceutiques est évidemment limité au strict nécessaire. Pour y remédier, on trouve par exemple parmi les méthodes biologiques utilisées en lutte intégrée, la réintroduction des typhlodromes. Cette famille d’acariens est en effet, loin devant les coccinelles et les punaises, la plus redoutable prédatrice d’autres espèces d’acariens phytophages (dont l’araignée rouge et jaune) nuisibles à la vigne. La lutte intégrée essaie ainsi de rétablir un équilibre biologique. Elle intègre à bon escient tous les moyens dont elle dispose pour protéger la vigne contre ses différents et nombreux ennemis.
La méthode Bio ou viticulture biologique est une agriculture fondée sur le respect de la nature. Elle cherche à valoriser les interactions entre la vigne, le sol et le climat en utilisant essentiellement des méthodes respectueuses de l’environnement avec par exemple l’utilisation d’engrais et de fertilisants d’origine organique. La possibilité est donnée aux viticulteurs bio d’afficher depuis 2005 le logo AB accompagné de la mention vin issu de raisins de l’agriculture biologique.
La biodynamie est une méthode de culture « bio » qui proscrit tout traitements chimiques, l’emploi de désherbants pesticides et engrais de synthèse et affirme qu’il existe des corrélations entre le mouvement des astres et le développement des végétaux. Cette méthode fondée sur les quatre éléments de l’univers (terre, air, eau et chaleur) a été inventée et promue par Rudolf Steiner, un philosophe, médecin et agronome allemand du début du XXe siècle. En biodynamie, le vigneron utilise deux outils : le calendrier biodynamique suivant les phases de la lune et la position des planètes et des préparations à base de matières minérales, végétales et animales. La biodynamie considère l’agriculture comme une partie d’un système dans lequel tous les éléments sont interdépendants les uns des autres. Les rythmes, saisons, jours et nuits, marées, cycles de fécondité, croissance des plantes, témoignent de l’influence du soleil, de la lune et de tous les mouvements des planètes sur la vie.
Il faut en priorité redonner de la vitalité au sol et à la plante à l’aide de préparations biodynamiques pour lui permettre de s’exprimer pleinement tout en tenant de compte des rythmes cosmiques. La vigne a en effet depuis plus de cinquante ans été pervertie par les apports d’engrais chimiques, de pesticides, d’insecticides. Elle en aurait perdu ses facultés de défense et de réaction face aux éléments extérieurs.
Tout comme l’agriculture biologique, l’agriculture biodynamique s’oppose à l’utilisation d’engrais chimiques, de pesticides, d’insecticides, de tels produits qui dénaturent les sols et inhibent le développement de micro-organismes décomposeurs. Mais sur ce domaine, l’agriculture biodynamique va encore plus loin en laissant de côté tout produit phytosanitaire, même à base de sels minéraux ou d’extraits de plantes, à l’exception du soufre et du cuivre. Sa solution est d’utiliser plutôt des tisanes de plantes, des cristaux de roche, des composts animaux ou végétaux décomposés et fermentés et parfois même des préparations très étonnantes. Ici, les préparations utilisées sont élaborées selon un processus préalable bien précis que l’on appelle dynamisation. Il s’agit de dilutions homéopathiques à base de produits naturels, tels que les cristaux de quartz, l’ortie, le pissenlit ou la bouse. Il faut les brasser dans de l’eau tiède selon un mouvement en spirale que l’on inverse soudainement à plusieurs reprises. En une heure de brassage, la préparation est dynamisée. Elle est ensuite appliquée lors des jours favorables définis par le calendrier des semis mettant en parallèle la position des planètes et les différentes phases de développement de la plante.
ZOOM SUR LE TISSU ASSOCIATIF
Si le riche patrimoine du Puy Notre Dame continue à rayonner, c’est grâce aux nombreuses associations qui le font vivre. Découvrez-les en détail et comment les rejoindre dans la rubrique VIE ASSOCIATIVE de notre site.
L'association du Patrimoine
L’Association du Patrimoine a notamment pour but la sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine architectural du village du Puy Notre Dame.